- EAN13
- 9782258161528
- Éditeur
- Les Presses de la Cité
- Date de publication
- 28/02/2019
- Langue
- français
- Langue d'origine
- flamand, néerlandais
- Fiches UNIMARC
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Vous ne regarderez plus vos animaux de compagnie de la même façon !
Les dauphins et les perroquets s'appellent par des noms. Les éléphants en
captivité utilisent des mots de notre langage pour interagir avec leurs
geôliers. Les baleines à bosse peuvent chanter leur amour vingt heures durant.
Certains passereaux imitent les cris d'autres animaux. Les calmars font
apparaître sur leur peau des motifs grammaticalement structurés... À l'instar
de ses confrères éthologues et biologistes, la jeune universitaire Eva Meijer
s'est penchée sur la vaste question de la communication animale dans un
ouvrage ludique et documenté qui fait émerger, chemin faisant, une question
immémoriale : le langage, qu'est-ce que c'est ? Et si les animaux sont
capables d'en développer de plusieurs types, qu'est-ce qui nous distingue
d'eux ?
Un véritable outil de réflexion qui nous force à abandonner certains
automatismes de pensée et à considérer l'homme, cet animal, comme un maillon
et non plus comme le centre du règne naturel.
Les dauphins et les perroquets s'appellent par des noms. Les éléphants en
captivité utilisent des mots de notre langage pour interagir avec leurs
geôliers. Les baleines à bosse peuvent chanter leur amour vingt heures durant.
Certains passereaux imitent les cris d'autres animaux. Les calmars font
apparaître sur leur peau des motifs grammaticalement structurés... À l'instar
de ses confrères éthologues et biologistes, la jeune universitaire Eva Meijer
s'est penchée sur la vaste question de la communication animale dans un
ouvrage ludique et documenté qui fait émerger, chemin faisant, une question
immémoriale : le langage, qu'est-ce que c'est ? Et si les animaux sont
capables d'en développer de plusieurs types, qu'est-ce qui nous distingue
d'eux ?
Un véritable outil de réflexion qui nous force à abandonner certains
automatismes de pensée et à considérer l'homme, cet animal, comme un maillon
et non plus comme le centre du règne naturel.
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